Jeudi 2 juillet 4 02 /07 /Juil 13:38
C'était il y a un an, je me décide à raconter cette histoire parce que maintenant que j'y pense et que je lis les vôtres, je trouve la mienne pas mal non plus.
Je travaillais dans un magasin, une des deux patronnes était mère de famille et pas mal conservé pour son âge mais rien de non plus très excitant.
J'avais déjà remarqué qu'elle avait des gros seins (certes un peu pendants à son âge mais gros) et son cul n'était pas encore trop large mais il est vrai un peu flasque. Il m'était déjà arrivé de fantasmer sur elle, mais comme tous les jeunes de 20 ans, les femmes d'une quarantaine d'années font fantasmer. Ce n'était pas non plus le maman de mes rêves. Nous nous entendions bien mais nous n'avions pas trop d'affinité, en plus je connaissais son mari et ses deux fils dont un avait à peu prés mon âge.
Un jour où nous étions tous les deux tout seul dans la magasin, en fin d'après-midi, un allai se changer dans les cabinets pour se mettre en tenue de cheval comme tous les mercredis. Je revenais de la réserve et je ne savais pas qu'elle était dans les toilettes et bien entendu elle n'avait pas fermé la porte. Je voulais boire un coup et je rentre juste au moment où elle était en string pour enfiler son pantalon. Elle se tenait debout et je pu ainsi voir toute la longueur de ses jambes et la forme d'une de ses fesses car elle était de profil. Ce n'était pas la première fois que je voyais une femme en string mais j'avoue que de la voir, elle, comme ça, dans cette tenue, dans ce contexte, m'avait particulièrement excité. 


Quand elle sortit, je lui demandé pardon à nouveau, un peu gêné, mais elle, continué à me dire que ce n'était pas grave et qu'elle n'avait qu'a fermer la porte correctement.
15 jours s'étaient écoulés et j'avais oublié cette histoire (bien que le soir même je me suis masturbé bien fort quand même en pensant à cette bonne maman). Il est vrai que maintenant je la regardai avec un autre œil et je la désirai presque. Un après-midi où nous nous sommes à nouveau retrouvé tout seul, j'étais en train de préparé un mailing quand elle entre dans le bureau pour chercher un papier. Bien entendu quand elle se retourna, je lui mattai le cul comme d'habitude, sauf que là, sa tête était toujours tourné vers moi car elle voulait me dire quelque chose. Elle garda un sourire amuseur pendant au moins 5 secondes pour me dire au final qu'il fallait que je sois plus discret lorsque je matte ma patronne, sur un ton ironique bien entendu. J'atais plus que mal à l'aise. Ce jour là elle portait un jean tout neuf et particulièrement moulant qui lui remontait les fesses (ça se voyait).
J'avais une demi-molle quand elle sortit du bureau malgré que je me sois fait grillé. 5 minutes après elle rentra à nouveau pour reposer la doc qu'elle avait pris et me demanda si j'avais une copine. Je lui dit qu'en ce moment non et je m'excusai pour l'avoir regardé comme ça. A ma grande surprise, elle me dit qu'elle trouvait ça plutôt amusant et qu'elle préférée encore être désirable plutôt que pas du tout. 
Je lui répondit: "tant que son mari la trouve désirable c'est le principal". Elle me dit: "oui mais tu sais à mon âge on aimerait être désirable avec tout le monde".




Je lui dit alors qu'elle n'avait pas à s'en faire, qu'elle était encore une belle femme. Elle m'avait mis à l'aise, me regardé gentiment et je me sentait alors moins gêné Je lui dit alors qu'une femme de son âge était attirant pour un garçon de mon âge et qu'il était normal que je la regardai mais sans arrière pensées. A ce moment là, comme un con, je me levais pour attraper un crayon sur le bureau en face et j'avais complètement oublié que j'avais une moitié de gaule. J'étais en jean et malgré qu'elle soit remontée le long de mon pantalon, une mini bosse dépassée, je la voyais pas mais je le sentais à la réaction qu'elle a eu à ce moment là. Elle me dit qu'elle n'en attendais pas tant de ma part et bien entendu je fis l'innocent en lui demandant de quoi elle parlait. Elle me fit signe de la tête vers mon pantalon avec son petit sourire qui m'avait excité bien des fois.
Je me mis à rougir bêtement et me sentis mal à l'aise car elle n'avait plus le même sourire. A ce moment là, comme une enfant elle me dit: "lève toi si t'es un homme". Je me suis donc exécuté sur la champ et je n'avais pas honte de montrer ma trique vu qu'elle l'avait remarqué et puis que je me sentais étrangement à mon aise à ce moment là. Je me suis donc levé avec le jean tendu. Elle me confia alors que ça ne la dérangeait pas et qu'elle était contente de se trouver désirable à l'égard d'un beau jeune homme comme moi. Je m'étais rassis aussitôt. Puis elle dit: "bon allez on y retourne". Elle sortit du bureau. J'étais, il fait l'avouer comme même un peu perturbé par les évènements mais je bandais comme un taureau. J'avais qu'un envie c'était me masturbé. Je retournai dans la réserve environ 10 minutes plus tard pour y préparer un commande. Elle rentra 20 secondes après moi et m'aida à préparer la commande (je n'avais absolument pas besoin d'aide mais je sentais que ce n'étais pas pour m'aider qu'elle était là). Je lui demandais alors pourquoi elle voulait tant me voir debout alors qu'elle savait que je bandais. Elle me répondit qu'elle aimait bien voir les garçons en admiration pour elle et qu'elle avait déjà surpris un copain de son fils en train de se masturber chez elle. Le copain de son fils ne l'avait pas vu mais elle passa au moins 5 minutes à regarder le garçon se masturber dans la salle de bain dont la fenêtre de la porte donnait sur la couloir. Je trouvais ça plutôt drôle et je lui dit qu'elle a bien fait de ne rien dire au copain de son fils car celui-ci aurait sûrement était très très gêné. Elle me dit ensuite: "ce garçon avit 17 ans, toi tu en a 20 c'est peut-être autrement excitant".
Cette réplique m'avait fait reprendre ma trique et je pu lire dans ses yeux une certaine perversité. C'est à ce moment là que je lui répondit: "je te montrerai bien la mienne mais je me sentirai trop mal à l'aise". Je n'est toujours pas compris à l'heure d'aujourd'hui comment j'ai pu sortir ça du tac au tac comme ça sans même avoir réfléchi des conséquences que cela aurait pu avoir. 
Elle me répondit que de toute façon je n'avais que d'la gueule et que je n'étais pas capable de la sortir comme ça devant elle. Je lui répondit alors qu'elle avait raison. Le ton de la plaisanterie était employé tout au long de la discussion et c'est sûrement pour cela que j'étais étonnement à l'aise.
Elle me dit alors à ma grande surprise: "et si c'est moi qui te la sors tu te laisse faire Antoine ?" Je me suis senti à ce moment là gêné. Je lui demandait aussitôt ce que j'étais censé répondre et si ce n'étais pas de la provocation pur et simple. Elle me dit alors que ça ne l'a dérangé pas de me toucher mais qu'il fallait bien entendu que je ne le répète pas aux autres membres de l'équipe.
J'avais alors l'impression que c'était une copine en face de moi et non ma patronne. Je bandais comme jamais, la situation était plus qu'excitante et cette femme m'attirait beaucoup depuis le jour où je l'avait vu en string dans les toilettes. Je lui répondit qu'effectivement depuis le jour où je l'avait vu à moitié à poil j'avais une attirance pour elle mais que ça restait pas patronne et que je devais avoir un certain respect envers elle. J'avais à peine finis ma phrase que j'ai vu sa main s'avancer et se poser sur mon chibre en entière érection. Ma réaction immédiate fut de me reculer.
Elle me dit alors qu'elle était très excitée par les garçons jeunes qui n'avaient pas beaucoup d'expérience. Elle me fit d'ailleurs remarqué que je bandais très dur et que c'était bien parce qu'elle m'attirait. Elle était en face de moi et avait à ce moment reposer sa main sur ma jean où je me sentais d'ailleurs très à l'étroit. Je me suis alors tout d'un coup senti décontracté et plus à l'aise. Cette maman était en train de faire des va et viens sur mon jean avec sa main de femme mûre. Je lui dit qu'il était question que je lui montre et non qu'elle me touche. Elle le dit alors: "alors montre la moi si t'es si sûr de toi". Je déboutonnai alors mon jean, je ne fit que le descendre à peine mais j'avais gardé mon caleçon. Elle repoa alors sa main sur moi et m'enleva le caleçon comme si elle avait fait ça toute sa vie. Elle me fit remarqué que c'était une des rares fois où elle voyait un sexe masculin rasé et qu'elle trouvé ç très propre et très excitant. 2 minutes c'était passé elle continauait de me branler doucement. je luis dit alors:" Sophie si tu continue comme ça c'est carrement ce qu'il y a dedans que tu vas voir". J'étais alors super bien et je ne pensais plus du tout que c'était ma patronne en face de moi. Elle me branlait du paume de la main et c'était mise presque à côté de moi pour ne pas se tordre le poignet. Je sentais le jus monté et je lui dit de s'arrêter là sinon elle allait avoir des surprises. J'avais posé une main sur ses fesses et je contemplai sa poitrine avec admiration lorsque j'eus la bonne idée de lui demander de me montrer ses seins puisque je lui avait montré mon membre. Elle me dit de ma débrouiller et je lui enleva aussitôt le pull et le t-shirt qu'elle portait. Effectivement ses seins pendaient un peu mais une fois le soutien gorge retiré, ses seins était excitants et sentait bon la femme. Elle se mis alors à genoux et frotta son sein gauche sur mon gland pendant facile 20 secondes. S'en était trop, je sentais que j'allais éjaculé à tout moment. je luis dit:"Sophie, soit tu t'arrête sois tu te prend tout ça va aller maintenant très vite". Elle me répondit à mon plus grand plaisir que c'était moi qui voyait et 10 secondes après je ressenti de grandes crispation, un plaisir fou et de longue traînées de sperme lui inonder le sein et la cuisse par la même occasion. Elle s'essuya vite fait avec du sopalin qui traînait là et me dit que si j'en parlais à qui que ce soit je serais viré. Ma patronne m'avait masturbé sur son sein et je lui avait éjaculé dessus.






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Par OLO - Publié dans : Histoire X
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